Des Scientifiques Hongrois ont mis au point une sorte de pile à combustible qui se nourrit de sang pour fabriquer du courant. L'objectif de leur recherches serait de disposer d'une production d'énergie électrique embarquée.
C'est en faisant réagir les molécules de glucose, par hdrolyse, que l'on peut avoir un passage d'électrons entre les deux faces d'une membrane cellulaire.
Ce faible courant pourrait alimenter un coeur artificiel ou des nanobot, organismes cybernétiques embarqués dans l'organisme, ayant pour fonction la réparation des lésions internes.
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1 commentaire:
J'ai l'impression qu'on peut faire croire n'importe quoi, du moment que l'on met une note scientifique...
J'aurais même du mettre une formule chimique ou une équation différentielle pour faire vrai...
D'ailleurs, vous avez remarqué que ce sont des chercheurs Hongrois qui ont trouvé ça, et oui, On grois que ça va marcher, mais ça marche pô !
Hihihi
Fredovitch
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